Sur une île de l'estuaire du Saint-Laurent, une communauté vit en autarcie presque totale. Chacun a son histoire : Joséphine est jalouse de sa voisine, Manny attend son mari disparu depuis vingt-huit ans en mer, Clara, l'Amérindienne, et Jim, son mari, ont sept enfants et sont très pauvres. Un jour, Alex, un étranger, débarque et Clara meurt brutalement.
Blanche, la plus jeune des filles d'Emilie, part suivre des études d'infirmière à Montréal. Lassée de la ville, elle part parmi les pionniers en Abitibi soigner les malades. Mais, prise dans la tourmente d'évènements incontrôlables, elle accepte un autre défi, le mariage
Par l'auteure du best-seller "Les filles de Caleb". En 1939, une famille d'Europe de l'Est s'exile au Canada avant que n'éclate la Deuxième Guerre mondiale. 1992.
Une romancière pour la jeunesse se lie d'amitié avec un aveugle et se retrouve obsédée par un ami de ce dernier. Cet ami qui vient de mourir était un homme effacé et plutôt solitaire auquel on ne connaissait qu'une passion: la photographie des chiens et des bâtisses.
Après presque vingt ans, Arlette Cousture donne une suite à sa populaire saga. Le troisième tome s'étend de 1958 à 1992 et a pour protagonistes Blanche et ses deux filles, Élise et Micheline.
En 1884, dans Griffintown, quartier de Montréal habité par de nombreux Irlandais, vivent Violette et son frère, Étienne, les seuls rescapés de l'incendie qui a décimé leur famille. Leur cousine, Angélique, promise à Dieu, va les rejoindre en pleine crise de vocation. Et puis se pointe Margaret Hogan, une rescapée de Grosse-Île qui n'a que son fiddle et sa détermination d'Irlandaise pour survivre.Au fil de l'année, les trois « fleurs » s'épanouiront malgré les épines plantées sur leur chemin et, en mai 1885, qui sait ce que l'avenir leur réserve ?
Charlotte découvre le monde à travers la fenêtre de son salon de la maison familiale. L'auteure a choisi de donner la parole à l'enfant qu'elle a été pour dépeindre l'univers des années 1950, ses voisins et leur étrangeté, parfois, quand ils venaient d'ailleurs. Au fil des saisons, on fera la connaissance de ses soeurs «parties apprendre l'anglais», de son papa qui «porte un chapeau de monsieur à cravate», de sa maman qui a été petite, puis grande et qui, «entre les deux, a été une garde-malade».
Trente ans. Incroyable. Il y a plus de trente ans, je travaillais à un livre qui s'est révélé exutoire, loisir et paratonnerre contre les aléas de la vie. Les fins de semaine, les soirs où je n'avais pas de cours, les vacances... tout le temps. Loisir à plein temps envers et contre tout, malgré la défaillance de ce corps qui m'avait pourtant si bien servi. Je me suis donc demandé comment il m'était possible de remercier un livre. J'y ai pensé pendant près d'un an. Encore une fois, ce sont mes personnages qui m'ont inspirée.